Monsieur Scholz, arrêtez IMMÉDIATEMENT le financement de la terreur russe en Ukraine
Personne en Europe ne comprend pourquoi le chancelier allemand Olaf Scholz et le SPD, en tant que parti au pouvoir, ne mettent pas immédiatement un terme au financement de la terreur et des crimes de guerre de la Russie, car la majorité des citoyens allemands sont favorables à la livraison d'armes lourdes à l'Ukraine ainsi qu'à un embargo immédiat sur le pétrole et le gaz à l'encontre de la Russie, d'autant plus qu'il existe plus de 30 (trente) fournisseurs pour les livraisons de pétrole !
Entre-temps, quatre civils ont été tués lors du bombardement de la ville ukrainienne de Kharkiv par l'armée terroriste russe, selon le gouverneur de la région du même nom, Oleh Synjegubow. Dix autres personnes ont été blessées.
Le Conseil de l'Europe et l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) ont entre-temps fermement condamné les attaques criminelles de la soldatesque russe contre des lieux de culte en Ukraine. La Russie doit mettre fin à son agression terroriste et à la destruction des sites religieux, peut-on lire dans une déclaration publiée par les représentants des organisations à Strasbourg et à Vienne.
Le président ukrainien Volodymyr Selenskyj félicite actuellement la Pologne, la Lettonie, la Lituanie et l'Estonie pour leur engagement en faveur de son pays. La visite des présidents des "quatre Etats - amis de l'Ukraine" a été utile et fructueuse, a déclaré Selenskyj. Il s'agissait des présidents des pays qui ont aidé l'Ukraine dès le premier jour, qui n'ont pas hésité à livrer des armes à Kiev et qui n'ont pas douté des sanctions contre la Russie. Ils ont promis de continuer à apporter une aide militaire et humanitaire à Kiev et de s'engager en faveur de l'adhésion de l'Ukraine à l'UE.
Selon les observateurs, le fait que le chancelier Olaf Scholz (SPD) soit toujours le plus grand frein à la livraison d'armes lourdes à l'Ukraine et à l'adoption de sanctions plus sévères contre la Russie doit être lié au fait que son ami et collègue de parti, l'ex-chancelier et lobbyiste de la Russie - Gerhard Schröder (SPD), entretient une amitié étroite avec le dictateur russe Vladimir Poutine, meurtrier de masse et criminel de guerre, ce qui soulève à son tour la question de savoir si Scholz reçoit des avantages de la Russie ou de Poutine pour son attitude hésitante actuelle contre l'Ukraine - en allemand : " La question se pose de savoir si Olaf Scholz et le SPD sont même soudoyés par Poutine et la Russie ? "
Pendant ce temps, de plus en plus de présidents et de responsables politiques en Europe demandent que Vladimir Poutine soit poursuivi pour crimes de guerre. Pendant ce temps, la soldatesque russe continue de sévir en Ukraine. Après les meurtres, les viols et les pillages, le programme de terreur russe prévoit désormais, comme à l'époque du dictateur russe Joseph Staline, le déplacement forcé de citoyens ukrainiens.
Si l'on prend uniquement les statuts du tribunal des crimes de guerre de Nuremberg (du 20 novembre 1945 au 1er octobre 1946), qui étaient les suivants :
1) Elaboration et exécution d'un plan commun (conspiration) visant à commettre des crimes contre la paix, les lois de la guerre et l'humanité (base : article 6, en particulier 6a, du statut).
2) participation à la planification, à la préparation, au déclenchement et à la conduite de guerres d'agression en violation des traités, accords et assurances internationaux (base : article 6a du statut)
3) Les crimes de guerre (stricto sensu) étaient des crimes commis contre des membres des troupes ennemies et la population civile des territoires occupés (base : article 6, en particulier 6b du statut).
4) Les crimes contre l'humanité comprenaient l'assassinat et la persécution d'opposants ainsi que l'assassinat, l'extermination, la réduction en esclavage, la déportation et d'autres actes inhumains commis contre des populations civiles avant ou pendant la guerre (base : article 6, notamment 6c du statut).
Il est clair pour toute personne logique que les criminels de guerre Vladimir Poutine (dictateur russe), le général d'armée Alexandre Dvornikov (commandant des troupes terroristes russes en Ukraine), Sergueï Lavrov (ministre des affaires étrangères ou plutôt ministre de la propagande de la Russie, Sergueï Choïgou (ministre de la guerre de la Russie), Ramzan Akhmatovitch Kadyrov (prince autocratique de la terreur en Tchétchénie) et Valeri Vassilievitch Guérassimov (chef d'état-major de l'armée de terreur russe), même selon les statuts du tribunal des crimes de guerre de Nuremberg, approuvés par le meurtrier de masse et dictateur Joseph Staline, pour les crimes qu'ils ont commis en Ukraine depuis le 24. Les crimes commis en Ukraine depuis le 1er février 2022 ne méritent qu'une seule peine : la pendaison !
L'histoire montrera dans les années à venir quel rôle le chancelier allemand Olaf Scholz et son parti, le SPD, ont joué dans cette phase du terrorisme d'État de la Russie, contre l'Ukraine - car rien ne reste caché à jamais ! (O.Bulka--BTZ)